Vendredi matin, je bois mon café, je tente de m' informer sur la première ...
07.22 : pub jusqu'à 07.24 ; 4' de tranquillité ... puis re-pub de 07.28 à 07.30, quelques infos et re-re-pub de 07.40 à 07.42 ... Ouf, c'est passé, l'invité du matin arrive. 07.56 : il est brusquement interrompu pour faire place à des messages débiles (qu'on a déjà entendus 10 x) accompagnés de musiques (?) "nunuches" et d'humour (??) douteux.
Vais-je avoir le courage d'attendre les infos de 8h00 ?
10' de pubs sur 40' d'émission ! J'abandonne ...
Il y eut aussi ce moment mémorable, voici 2 ou 3 semaines, avec cette interview de Michel Bourlet sur la fermeture définitive du "Dossier bis" de l'affaire Dutroux.
RépondreSupprimerCela se passait dans la petite case horaire qui va de 7h25 à 7h28 et ça s'est terminé à peu près comme ceci :
- Ce que je voudrais dire aussi, à propos de ce dossier qui a été scindé c'est que...
- On n'a pas le temps, Michel Bourlet, on est obligés de vous interrompre, c'est l'heure d'une page de pub.
En 1996, on se souvient de sa phrase :
«J'irai jusqu'au bout, si on me laisse faire»
En 2010, cela donne :
«J'irai jusqu'au bout, si on me laisse terminer ma phrase»
Et tout ça pour passer des publicités que PERSONNE ou presque n'écoute !
Ce qu'il faudrait, c'est écrire aux sociétés qui font de la publicité pour leur dire que, non seulement on ne les écoute pas (personnellement, je diminue le son et je ne suis pas un cas unique), mais que si, par malchance, on n'a pas eu le temps de tourner le bouton du volume, ça nous dégoûte d'acheter leurs produits !
Puisque la RTBF n'écoute pas ses auditeurs, adressons-nous directement aux annonceurs...
Greatt reading this
RépondreSupprimer